L'Academie du Net
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

L'Academie du Net

Arts & cultures
 
AccueilPortailGalerieRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-28%
Le deal à ne pas rater :
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G Double Sim 128Go ...
389 € 539 €
Voir le deal

 

 Astrologie - Le Zodiac

Aller en bas 
AuteurMessage
Lp Boss
Admin
Admin
Lp Boss


Nombre de messages : 242
Age : 35
Localisation : Manoir de l'Imprononçable...
Date d'inscription : 04/04/2007

Astrologie - Le Zodiac Empty
MessageSujet: Astrologie - Le Zodiac   Astrologie - Le Zodiac Icon_minitimeSam 7 Avr - 15:21

L’astrologie concerne le Zodiac [sic], les planètes, les étoiles, les constellations, et la Terre et l’humain qui l’habite.




Dans le Zodiac, à travers chacun de ses signes, uniques et collectifs, et leur ordonnance dialectique, se situent l’être et le non-être, leur langage et leur non-langage, l’utile et l’inutile, qui sont seulement l’état dialectique des virtualités.




C’est le domaine de l’état dialectique et du devenir dynamique de l’œuvre.




Les planètes, variées mais dépendantes d’une ordonnance globale, sont aussi être et non-être, langage et non-langage, utiles et non utiles. Elles sont seulement valeurs d’une dialectique collective d’une action et d’une influence virtuelle.

Leurs différents aspects, dialectiques essentielles et dynamiques, sont l’action dialectique, aussi, de leurs valeurs réelles – en sujet – de l’œuvre à venir.


Ils sont transcendants des planètes, transcendantes elles aussi du Zodiac qui est lui aussi transcendant des constellations.


Mais il y a une interdépendance des planètes, de leurs aspects, et du Zodiac lui-même.


Les maisons sont le lieu dialectique de l’être et du non-être, du langage et du non-langage, de l’utile et de l’inutile.


Mais elles le sont sur le plan et l’ordonnance dialectique de l’objet virtuel.


Les constellations et leurs étoiles sont sur le plan non-dialectique du non-être, du non-langage, de l’utile et de l’inutile. Elles sont accessoires et non essentielles des valeurs et de leur ordonnance non-dialectique des valeurs – et non des réalités – du sujet.


Il y a cependant, au terme de l’ordonnance des planètes, une planète réelle, pas encore découverte, qui s’appelle Vulcain : il est aussi histoire et non-histoire, langage et non-langage, utile et inutile.


Mais il est non plus virtuel – il est potentiel des valeurs dialectiques du réel.


Il est en principe démiurge potentiel, et non plus virtuel ; pour lui, il n’y a plus de sacré et de tabou : il oppose de façon complémentaire le cosmique et l’humain au divin dont il est le complice.


Il crée les bijoux pour les déesses, et les armes pour les dieux, mais il est médiateur – et non intermédiaire – entre l’homme et Dieu. Il est prometteur de contestations et de révolution.


Il est la mise en rapport du système solaire et des étoiles.


Quant à la Terre, elle est transcendante aux constellations et à leurs étoiles, et transcendante du Zodiac, des signes, des planètes et de leurs aspects, et de l’interdépendance universelle et absolue et relative de leurs vertus dialectiques de valeurs du réel, et non de la réalité*.


La Terre, par contre, est le lieu, unique et collectif, des valeurs dialectiques de l’être et du non-être, du langage et du non-langage, de l’utile et du non-utile – mais cette fois, des vertus dialectiques efficaces du réel et de la réalité.


La Terre, planète singulière de l’univers, est passage dialectique du réel de l’univers à la réalité terrestre.


Mais l’humain est exceptionnel dans l’univers exceptionnel, unique et collectif du passage dialectique des vertus du réel et de la réalité du déterminisme – humanité, communauté naturelle, unique et collective, dont la société, toujours dialectique, est le conditionnement passager et le déterminisme relatif du devenir de l’histoire vers une humanité nouvelle où le déterminisme et le conditionnement sont vaincus par les valeurs dialectiques de la révolution extérieure sociale, celle du socialisme, qui débouche sur la Sublime Anarchie, analogue à la Sublime Anarchie du corps humain, germe et témoignage dès l’origine de l’humanité, communauté naturelle dépassée par le passage dialectique à l’état, à l’action et à l’œuvre, de la société qui subit le déterminisme de l’histoire et de la non-histoire, et du conditionnement social.


Corps humain, germe – je l’ai dit – de la Sublime Anarchie ultime et à venir du fruit de la société histoire et non-histoire, être et non-être, utile et inutile, transmuté en humanité nouvelle délivrée du déterminisme et du conditionnement de l’histoire et de la non-histoire, de l’être et du non-être, du langage et du non-langage, de l’utile et de l’inutile, transmutés par l’Apocalypse, nuit de Noces du réel et de la réalité, où apparaît le nouvel humain, délivré du conditionnement du mourir (absence de la présence) et du déterminisme de la mort (présence de l’absence) : c’est alors la Résurrection, qui fait surgir le Corps Glorieux, immortel pour l’humain, et la Jérusalem Céleste pour la Terre et l’univers.


C’est le fruit des Noces de la révolution extérieure, sociale, de l’état et de l’action en œuvre et en chef-d’œuvre, révolution physique, dialectique, où le visible l’emporte sur l’invisible, et de la révolution intérieure – toujours, elle aussi, dialectique de l’invisible et du visible.


La Terre et l’humanité – unique dans l’univers – est le lieu singulier de l’amour réalisé et incarné : quand on aime, on n’a plus besoin d’aimer ni d’être aimé. Délivrance de son déterminisme et de son conditionnement.


L’amour est une vertu singulière et universelle ; mais l’amour est concomitant de la gnose, fruit dialectique d’une ascèse du devenir permanent dans l’éternité et dans l’infini de l’histoire et de la non-histoire, de l’être et du non-être, de l’utile et de l’inutile, du langage et du non-langage.


La Terre se trouve donc – par sa valeur et sa réalité – transcendante de la mesure de la limite de son terrain, et transcendante du milieu des constellations du Zodiac et de ses signes, des planètes et de leurs aspects, et de l’ensemble des maisons – ordonnances dialectiques de leurs vertus métaphysiques.


Donc la Terre devient transcendance des vertus dialectiques du réel – essence de la réalité – et de la réalité – existence de l’essence du réel.


Cette transcendance de transcendances variées se transmute en immanence. Dans la confrontation de l’univers et de la Terre, l’univers est le lieu de la dialectique, interdépendance universelle – et la Terre est le lieu immanent et exceptionnel, unique, dans l’univers collectif où l’humain qui l’habite est le lieu miraculeux, unique et collectif, du dialogue humain, cosmique et divin, qui n’est plus l’œuvre mais le chef-d’œuvre immanent de la dialectique cosmique.


Dialogue où s’accomplissent la grâce et la paix des combats, de la présence, des rapports, des relations et des contacts du Verbe – enfin incarné – et de son Principe.


La création de l’homme par Dieu est le dépassement de Dieu.


Il est le lieu du risque, du choix et de l’erreur, de l’être (qui est coïncidence au monde, au divin et à l’humain) et de la conscience – qui est distance au monde, à l’humain et au divin dans l’action de la solidarité de l’humanité nouvelle créatrice de liberté absolue, auparavant liberté relative, celle de la conscience de conscience, conscience absolue de la conscience relative, celle du Je transcendantal.


Mais ce Je transcendantal de l’aventure intérieure débouche sur la nouvelle alchimie du Nous transcendantal – celui de la révolution sociale devenue socialisme global et planétaire.


Il débouche, lui, par une nouvelle transmutation, sur l’humanité nouvelle où la société et l’Etat ont disparu.


Tout ceci au profit de la créativité et de ses créations pour chacun et pour tous, qui ajoutent à la manifestation.


La Terre, habitée par l’humain nouveau enfin libre, est le lieu suprême d’un univers transmuté où les galaxies possibles et impossibles deviennent solidaires et non plus témoins collectifs accidentels de la Terre, elle, lieu suprême du cosmique, de l’humain et du divin.


L’homme est plus que Dieu qui ignore le risque, mais dont il dote l’homme dans la création d’Adam et d’Eve.


Mais le risque était déjà présent dans le Paradis par la présence de l’interdit de l’Arbre de la Connaissance du Bien et du Mal – promesse de l’Arbre de Vie où l’homme, s’il y goûte, devient semblable aux dieux.


Dieu, Notre Seigneur, est le Seigneur de tous les dieux, réels, mais non réalité au sein des variétés de l’univers, de ses galaxies, de ses étoiles, du Soleil, de la Lune, donc du Soleil Noir et de la Lune Noire et de leurs planètes, dont la Terre est le domaine exceptionnel et miraculeux par la présence de l’humain, mais demeure exceptionnelle de la dialectique qui règne dans l’univers et dans la société, la planète, et du dialogue de l’humain où l’homme est témoignage du miracle.


La Terre – unique et collective – est le lieu de l’aventure intérieure du saint qui est révolutionnaire à la conquête de la mort, et lieu de l’aventure extérieure, sociale, qui finalement précède les aventures intérieures.


Donc le révolutionnaire et le saint – non antagonistes mais complémentaires – combattent tous les deux pour la liberté : visible et dialectiquement invisible chez le révolutionnaire qui lutte pour la liberté de l’existence, dont les combats dialectiques débouchent sur l’essence seconde chez le saint qui lutte pour la liberté de l’essence dans l’existence.


Par sa conquête de la mort, il débouche sur une existence transfigurée par la Résurrection – victoire sur la mort.


Victoire sur la mort qui trouve son incarnation nouvelle et immanente – et non plus seulement transcendante – dans le Corps Glorieux pour l’humain et la Jérusalem Céleste pour la Terre.


La Terre – par la Jérusalem Céleste – est donc le lieu singulier du devenir universel, nécessairement socialisme et personne pour l’humain.


La création et la manifestation sont les situations complémentaires de la promesse qui va du terrain à la graine, puis de la graine à la racine, puis de la racine à l’arbre qui débouche dans le milieu environnant du Ciel et de la Terre.


Arbre dégagé mais en relation avec le terrain. Puis on va de l’arbre à la fleur, qui est l’incarnation de la jeunesse, et de la fleur au fruit, qui en est la maturité. Maturité qui est encore jeune par la présence du grain qu’il contient.


Donc, la fleur est la valeur et la réalité de la jeunesse qui est maîtrise des Vertus réelles de l’essence, et de la maîtrise des valeurs réelles de l’existence de la jeunesse, en passant par le devenir de la maturation qui devient maturité extérieure – comme conséquence de la maturité intérieure.

Jean Carteret
Revenir en haut Aller en bas
http://www.fishworld.com
 
Astrologie - Le Zodiac
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Astrologie - Les Quatre Luminaires
» Astrologie - Analyse & Description
» Astrologie - Planètes & Effets

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
L'Academie du Net :: Autres Arts & Disciplines :: Sciences & Mathématiques-
Sauter vers: